Un tournage à Cognac
Vendredi dernier, j'étais à Cognac, en Charentes. Non pas pour me saouler la gueule avec la spécialité locale mais pour assister au tournage d'un court-métrage "En attendant le bonheur" (c'est le principe de mon stage).
Il fait partie d'une série intitulée "Sable noir", axée sur le thème de la malédiction. Je sais qu'un gros plan promo est prévu. A mon avis, vous devriez en entendre parler prochainement.
Au casting, on comptait Dominique Pinon, sacrée gueule du cinéma français (son rôle le plus évident: le jaloux maladif au dicataphone dans Amélie Poulain).
Normalement, je devais l'interviewer mais je faisais déja la même chose avec une autre comédienne: Elina Löwensohn (photo). Elle a joué dans La liste de Shindler, Un long dimanche de fiançailles, Mauvais genre et j'en passe.
Comme vous pouvez vous en rendre compte, elle est très jolie. Ce qui contraste avec Dominique Pinon, lequel avait l'air sévèrement blasé lorsque je lui ai serré la louche. C'est donc mon boss qui s'est chargé de l'interviewer pendant que je tombais amoureux d'Elina.
Tellement, qu'une fois l'entretien terminé (nous étions assis à une table, elle buvait son thé), je n'osais plus me lever.
Je trouvais cela impoli de la laisser seule à sa table.
Manque de pot, plus aucun sujet de conversation ne parvenait à me traverser l'esprit. Du coup, je me suis contenté de rester la, un sourire niais sur la face. En gros, j'avais l'air un peu con. Elle a du avoir pitié de moi puisqu'elle m'a finalement autorisé à me lever, me disant, avec son bel accent roumain: "Vous pouvez y aller, ne vous inquiétez pas".
Merci madame.
Une prochaine fois (en mars, je crois), j'irais sur un tournage avec une autre "star": Laurence Boccolini. Je pense que cette fois, je me léverais plus rapidement de ma chaise...
Voila, c'est tout. Je tenais à ce que vous le sachiez.
Il fait partie d'une série intitulée "Sable noir", axée sur le thème de la malédiction. Je sais qu'un gros plan promo est prévu. A mon avis, vous devriez en entendre parler prochainement.
Au casting, on comptait Dominique Pinon, sacrée gueule du cinéma français (son rôle le plus évident: le jaloux maladif au dicataphone dans Amélie Poulain).
Normalement, je devais l'interviewer mais je faisais déja la même chose avec une autre comédienne: Elina Löwensohn (photo). Elle a joué dans La liste de Shindler, Un long dimanche de fiançailles, Mauvais genre et j'en passe.
Comme vous pouvez vous en rendre compte, elle est très jolie. Ce qui contraste avec Dominique Pinon, lequel avait l'air sévèrement blasé lorsque je lui ai serré la louche. C'est donc mon boss qui s'est chargé de l'interviewer pendant que je tombais amoureux d'Elina.
Tellement, qu'une fois l'entretien terminé (nous étions assis à une table, elle buvait son thé), je n'osais plus me lever.
Je trouvais cela impoli de la laisser seule à sa table.
Manque de pot, plus aucun sujet de conversation ne parvenait à me traverser l'esprit. Du coup, je me suis contenté de rester la, un sourire niais sur la face. En gros, j'avais l'air un peu con. Elle a du avoir pitié de moi puisqu'elle m'a finalement autorisé à me lever, me disant, avec son bel accent roumain: "Vous pouvez y aller, ne vous inquiétez pas".
Merci madame.
Une prochaine fois (en mars, je crois), j'irais sur un tournage avec une autre "star": Laurence Boccolini. Je pense que cette fois, je me léverais plus rapidement de ma chaise...
Voila, c'est tout. Je tenais à ce que vous le sachiez.